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TANTRA & LOI DE L’ATTRACTION

col de l'uterus

Vulvées ep.5, Le col de l’utérus, cet inconnu. A la recherche du donut magique

 

La première fois que je me souviens avoir entendu de parler de col de l’utérus, c’était quand j’étais enceinte de ma première fille et que je me suis formée au yoga prénatal aux Etats Unis. J’avais 32 ans. On peut considérer que c’est un âge assez avancé pour une première fois, mais que voulez-vous, Je n’avais jamais eu de passion particulière pour l’anatomie ou pour la grossesse auparavant. J’étais complètement passée à côté.

Dans cette formation, j’ai appris que les femmes ont un utérus (ça j’étais quand même courant) qui est un organe musculaire creux qui mesure environ 7 cm de longueur et 5 cm de largeur

Quand on est enceinte, cet organe devient extensible car c’est à l’intérieur de celui-ci que grandit le bébé.

L’utérus ressemble à une sorte de poire, positionnée tête en bas, au fond du vagin.
C’est le terminus du vagin, si tu veux. C’est grâce à lui que les tampons ne peuvent pas se perdre à tout jamais dans le corps.

Si tu n’arrives pas à visualiser, je t’ai mis des images sur mon compte Instagram. Tu as le lien en description de l’épisode.

L’utérus a une porte qu’on appelle col de l’utérus, qui est située au fond du vagin.

Dans son état normal, le col de l’utérus est ouvert un tout petit peu. Visuellement, on le compare souvent à un donut. Parce qu’il est de forme circulaire et qu’en son centre, il a un petit trou.

Ce trou permet de faire s’écouler le sang des règles et la glaire cervicale (ce qu’on appelle les pertes blanches) ou de laisser entrer les spermatozoïdes.
C’est aussi par ce trou que les sages-femmes ou les gynecos passent quand ils posent un sterilet.

Pendant la grossesse, le trou du col de l’utérus est comme scellé par ce qu’on appelle « un bouchon muqueux »
Et quand on accouche, le bouchon muqueux part et le trou du col de l’utérus s’agrandit s’agrandit s’agrandit sous l’effet des contractions de l’utérus, pour que le bébé puisse passer. Si vous avez déjà entendu les expressions « au bout de 3 heures de contraction, j’étais dilatée à 4. » Ca veut dire « le trou de mon col de l’utérus était ouvert à 4 cm »

Le truc est hyper bien fichu quand même, c’est impressionnant.

Donc, grâce à cette formation j’avais bien la théorie en tête. J’avais vu des images sur Instagram qui représentaient de manière allégorique le col de l’utérus qui s’ouvre peu à peu pendant l’accouchement.

Ces images nous montrent des fruits. Ouvert d’1cm, le col de l’utérus fait la taille d’un raisin, et puis il continuer de s’ouvrir jusqu’à atteindre la taille d’un melon.

Pendant mes cours de yoga prénatal, et sur ma chaine Youtube de yoga prénatal, j’expliquais le fonctionnement de ce col de l’utérus avec mes images de stand du marché : la forme de poire, le donut, les fruits selon le degré d’ouverture du col.

Puis j’ai accouché deux fois avec mon col de l’utérus qui a fait le job à merveille sans que j’ai à particulièrement m’en soucier. Raisin, pomme, melon, bébé de 4 kilos 2 dans mes bras, tout s’est bien passé, merci col de l’utérus.

Donc je connaissais théoriquement le col de l’utérus, mais je n’avais pas la MOINDRE idée de ce à quoi ressemblait EN VRAI un col de l’utérus.

Et je ne me questionnais pas tellement sur ça. Pour moi, c’était un peu comme le système digestif. Tu sais à peu près comment ça fonctionne, mais ça ne te viendrait pas à l’idée d’aller regarder tes viscères, parce qu’elle sont à l’intérieur de toi.

Donc la vie continue. Mon col de l’utérus et moi, on fait notre vie chacun de notre côté. Le temps passe, et un jour, je participe à un stage sur le féminin sacré, qui était extraordinaire. Et à un moment, l’une des pratiques proposées est d’aller regarder son col de l’utérus.

(Je tiens à préciser que ça a été amené avec beaucoup de délicatesse, après plusieurs jours de pratiques ensemble, et dans un cadre extrêmement sécurisant, respectueux et bienveillant.)

Mais quand même, je me retrouve d’un seul coup avec un speculum, un miroir, une lampe de poche en mode « Allez go, Alexandra, c’est le moment d’aller à la rencontre de ton col de l’utérus ».

Sur le coup, ça m’a fait un peu l’effet d’un date surprise organisé par des amis à mon insu. Je ne ne me sentais pas exactement prête pour la rencontre, mais puisque j’étais là, je me suis dit « courage, peut-être que ça va être sympa ».

Je pars donc en exploration et je finis par voir mon col apparaître dans le miroir.

Je précise que tout le groupe de femmes dans lequel j’étais faisait la même chose que moi en même temps. Autour de moi, toutes les femmes étaient extatiques de rencontrer leur col. J’entendais des oh, des ah, des c’est merveilleux, c’est magnifique. L’ambiance était en mode « Jardin des nymphes sur une île des Cyclades ».

Sauf que moi quand j’ai vu, comme ça, me regarder depuis le fond de mon vagin. j’ai TROP FLIPPE.

En fait, à dire vrai, ma première réaction, ça a été la surprise. Parce que moi j’avais en tête mes images de fruits et de donut. Alors je ne sais pas si je m’attendais à voir quelque chose avec un glaçage rose et des vermisucres, mais ce que j’ai vu, ce n’était pas du tout un donut, ou une poire ou un raison.

Le col de l’utérus, ça ressemble en tout point à un gland de sexe d’homme. C’est même hallucinant à ce point. C’est la soeur jumelle du gland, placée au fond de ton vagin.

Passé cette surprise du « waaaah ça ressemble trop à un gland », je me suis mise à avoir peur. J’ai pensé que mon col de l’utérus n’était pas normal, que j’avais un problème, j’ai appelé en panique la personne qui animait le stage pour qu’elle vérifie que mon col ressemblait bien à un col en bonne santé.

J’étais extrêmement choquée de découvrir cette partie de mon anatomie.
Je ne sais pas exactement pourquoi, et ce n’est pas encore très clair.
C’est évidemment relié à mon histoire personnelle.
Mais aussi je crois que de n’avoir jamais vu aucune image ou explication sur comment était concrètement un col de l’utérus, j’ai eu un stress du type « oh mon Dieu, j’ai ça dans mon corps ! ». Un effet de surprise un peu trop surprenant, tu vois.

Bref, imagine-moi, dans ce stage, avec mon speculum et ma lampe de poche, un air de supplication dans les yeux pendant que l’animatrice du stage regarde droit au fond de mon vagin et me rassure en me disant que mon col est parfaitement normal.

Le stage se termine, mais moi je continue à stresser.
Je ne suis pas en stress post traumatique, mais quand même, pas loin.
Donc je prends rendez-vous avec ma gynéco.

Arrive le jour du rendez-vous, je lui explique que j’ai auto-observée mon col de l’utérus (je ne lui donne pas les détails du contexte, le Jardin des Nymphes, tout ça. Elle ne me demande pas non plus). Je lui dis juste que j’ai regardé mon col, que j’ai eu peur et que j’aimerais qu’elle vérifie si tout est normal.

Elle regarde, elle me dit que mon col a l’air tout ce qu’il y a de plus normal. Et elle ajoute « mais quelle idée d’aller regarder là dedans ».

Pourtant, elle est plutôt progressiste et cool, ma gyneco. Le genre de gynéco qui te demande si c’est ok pour toi avant de te toucher la vulve.

  • Donc, sa remarque m’a quand même un peu sciée.
    « quelle idée d’aller regarder là dedans ? »
    Bah justement, quelle idée de ne PAS aller regarder là dedans, et de me retrouver traumatisée par l’effet de surprise à 37 ans !

C’est mon corps. J’ai déjà regardé le fond de ma glotte, le dessous de mes pieds et mon anus dans un miroir. Pourquoi je ne devrais pas regarder mon col de l’utérus et réserver ça aux experts ?

Comment ça se fait que sur cette planète, il y a plein de personnes qui connaissent mieux mon corps que moi-même ? J’ai pensé au nombre de gynécologues et sages-femmes qui avaient déjà touché et vu mon col de l’utérus, alors que moi, à 37 ans, je le découvrais pour la première fois.

A sa remarque, je me suis demandée pourquoi certaines parties de MON corps seraient réservées à la vue des médecins ?

Je me suis sentie un peu dépossédée de mon propre corps et ça m’a un peu énervée. Je me suis demandée, pourquoi jusqu’à maintenant, j’avais trouvé ça normal de remettre mon corps dans les mains d’autres personnes sans jamais me poser de question ?

Et c’est là que j’ai découvert que cette question, PLEIN de femmes se l’étaient déjà posée avant moi. Et notamment dans les années 70, avec le mouvement « Self Help »

Dans cette période, des féministes américaines ont commencé à créer des ateliers d’auto-gynécologie et d’auto-observation, pour reconquérir leur corps et les savoirs médicaux.

Cette démarche a été créée par et pour les femmes, lorsqu’elles ont fait le constat qu’elles n’avaient pas accès aux mêmes connaissances que les hommes, et qu’elles ont eu le désir d’accéder à cette connaissance pour elles-mêmes.

Dans ces ateliers d’auto-observation et d’auto-gynécologie, les femmes se réunissaient pour observer leur vulve et leur col de l’utérus.

C’était une façon pour chacune de se réapproprier son corps, de faire connaissance avec lui et comprendre comment il fonctionne. C’était reprendre le pouvoir sur des connaissances réservées aux médecins.

Cela permettait aussi de contribuer à un sentiment de sécurité, de puissance et de confiance en soi.

Ces ateliers existent toujours aujourd’hui et sont proposés dans plusieurs endroits en France. Je vais bientôt en proposer à Nancy avec une merveilleuse amie et vous êtes les bienvenues si vous le souhaitez.

Le but de l’auto-gynécologie n’a jamais été de se substituer aux rendez-vous gyneco. sa vocation n’est pas de ne plus jamais aller voir un médecin, au contraire ! Ces ateliers aident à se connaître son corps et à déceler un symptôme anormal, pour aller consulter au bon moment.

C’est comme regarder tes grains de beauté. Tu peux voir s’il y en a qui changent et alors prendre rendez-vous avec ton dermato. Connaître ta vulve et ton col de l’uterus, ça permet d’identifier en amont si quelque chose part en cacahuète. Et c’est donc complémentaire au boulot d’un gyneco ou d’une sage-femme.

C’est une façon de se responsabiliser sur sa santé.

On peut pratiquer l’auto-observation en groupe. On peut aussi le faire en séance individuelle avec une personne dont c’est le métier.

Par exemple, je propose des séances d’auto-observation à Nancy, dans l’Est de la France, là où je vis. Je te mets le lien en description de l’épisode. Ca te permet d’être accompagnée pour découvrir ton anatomie et en parler simplement, sauf que c’est en tête à tête. C’est plus intime qu’un groupe et ça peut donc être plus confortable. Ca permet aussi d’être aidée dans le maniement du speculum et d’avoir du soutien et une présence rassurante.

Mais tu peux aussi tout à fait le faire seule et t’auto-observer toi-même en allant acheter un speculum jetable en pharmacie. C’est en vente libre sans ordonnance, et ce n’est pas réservé aux médecins.

Les spéculums vendus en pharmacie sont en plastique et coutent une dizaine d’euros.

Il y a 3 tailles qui existent :
– Le plus petit spéculum est de 20 mm, sera conseillé pour les personnes qui n’ont jamais eu de pénétration.

– Ceux de 24 et 27 mm, pour celles qui n’ont pas eu d’enfants.

– Le spéculum de 30 mm pour celles qui ont accouché par voies naturelles.

En t’observant régulièrement, tu pourrais même observer un truc extraordinaire : le col de l’utérus change d’apparence pendant tout le cycle menstruel. Sa couleur, sa forme, sa position, et sa texture changent.

Tu te rends compte ?

Juste après les règles, le col est bas, facilement accessible, dur et fermé.

De la fin des règles jusqu’à l’ovulation, le col va remonter, être dans une position plus haute et s’ouvrir afin de laisser passer les spermatozoïdes.

Pendant l’ovulation : le col est haut, ouvert et mou, comme dilaté, spongieux.

Après l’ovulation et jusqu’aux règles, le col de l’utérus va redescendre, se durcir, raffermir et son ouverture va se refermer un peu.

Moi ça m’hallucine d’apprendre que mon col fait tout ça alors que je me doute de rien. Tu t’imagines si ta langue changeait de position et de couleur ou devenait plus dure pendant certaines parties du mois, tu le saurais non ?

Au moment même où je vous parle, mon col de l’utérus et ton col de l’utérus font leur vie et je trouve ça extraordinaire.

Tu viens d’entendre que je parlais de la texture du col (dur, mou, ferme, spongieux). Et ça veut dire quelque chose. Que pour sentir cette texture, cela suppose se toucher soi-même le col de l’utérus !

Car oui, c’est possible de se toucher son propre col de l’utérus. Il suffit de t’intésserer un ou deux doigts propres assez loin au fond de ton vagin et tu vas sentir une boule de plusieurs centimètres. C’est là !

On peut avoir des réticences à se toucher le col de l’utérus, et pourtant ce n’est pas dangereux.

Ca peut être bon pour la curiosité et la connaissance de soi, mais ce peut aussi être utile pour savoir où tu en es dans ton cycle.

C’est même une méthode utilisée en symptothermie, qui est une méthode de contraception naturelle. On appelle ça l’auto-palpation du col.

On peut imaginer que le col de l’utérus n’est pas fait pour être touché (un peu comme ma gynécologue qui me dirait « mais quelle idée d’aller toucher son col »).
Pourtant si tu as déjà eu des relations sexuelles avec pénétration vaginale, il est fort possible que ton col de l’utérus ait déjà été touché par quelqu’un d’autre, et notamment par le gland de ton partenaire.

Le col de l’utérus, c’est ce que tu sens lors d’une pénétration vaginale, quand tu sens que le sexe de l’homme vient appuyer sur quelque chose au fond de toi, tu vois. Et c’est une sensation qui n’est pas toujours agréable d’ailleurs, selon la position dans laquelle tu te trouves, le moment de ton cycle et la compatibilité entre le positionnement de ton col et la taille du sexe de ton partenaire.

Mais parfois, ça peut devenir super agréable.

Et c’est ici que mon enquête sur le col de l’utérus connait un twist extraordinaire, en abordant le sujet des orgasmes du col de l’utérus (également appelés orgasme cervical) !

La première fois que j’ai entendu parler de l’orgasme du col de l’utérus, j’étais hyper sceptique. Je me suis dit « c’est bon les mythos, et pourquoi pas l’orgasme du coude ». Mais il se trouve que le miracle de la vie me l’a fait expérimenter ! Merci la vie ! (Et d’ailleurs, pourquoi pas l’orgasme du coude quand on y pense ?)

Ce jour là, on faisait l’amour avec mon homme de l’époque, qui a un sexe quand même très grand et très beau (coucou à lui), et je sentais que son gland venait appuyer sur mon col de l’utérus, et cette fois là, c’était hyper agréable. Et là, par surprise, je suis partie dans un orgasme hyper puissant et très différent des sensations que j’avais pu connaître jusqu’à maintenant.

Que s’est-il s’est passé, les ami.e.s ? Je vais vous le dire !

D’un point de vue mécanique, l’orgasme du col de l’uterus vient d’une pénétration vaginale profonde qui presse contre le col de l’uterus. Or, le col de l’utérus est connecté au clitoris à travers le puissant nerf pudendal.

D’un point de vue énergétique, comme on l’explique dans le tantra par exemple, on peut considérer que le gland et le col de l’utérus sont deux portes énergétiques, et que quand ils entrent en relation, c’est un passage d’énergie super puissant.

Donc, pour découvrir l’orgasme cervical, il faut trouver les positions qui permettent ce tête à tête gland col de l’utérus. Ou faire des prières. Ou alors, se lancer dans certaines pratiques tantriques.

Je vous dis ça, et en même temps, je trouve que ça n’a pas vraiment de sens de faire tout un foin de l’orgasme cervical. J’ai parfois l’impression qu’il y aurait une sorte de podium de l’orgasme.
Tout en bas, il y aurait l’orgasme « normal » par stimulation externe du clitoris, (si tu t’appelles Freud, tu rajoutes juste après l’orgasme par pénétration vaginale), ensuite tu as l’orgasme avec éjaculation féminine, et puis tout en haut, tu as l’orgasme cervical.

Certaines personnes peuvent te vendre l’orgasme cervical comme le Graal à atteindre, en te laissant entendre que si tu ne l’expérimentes pas, il y a un truc un peu loupé et incomplet dans ta sexualité et ta féminité. Et moi, ce que je vois comme une course à la performance, ça me gave.

De mon point de vue, si déjà tu arrives régulièrement à avoir de bons orgasmes, peu importe d’où et comment, c’est déjà génial et le feu !

Tout comme je pense que ce n’est pas une quête d’avoir un orgasme du col, je crois que ça ne doit pas devenir une quête de se toucher le col en toute décontraction.

Evidemment, j’espère que cet épisode vous donne de la curiosité pour votre col mais qu’il ne fait naitre en vous aucune injonction à entrer en contact rapproché avec lui.

C’est normal de trouver le col de l’utérus intimidant. De sentir des peurs, des réticences. Il n’y a aucunement à se forcer pour être « détendue du col », ou prendre des nouvelles de son col tous les jours.

On peut aussi très bien vivre sans se toucher le col. Moi par exemple, je ne me touche pas le col, et JE VAIS BIEN.
Mais pour celles qui ont envie d’explorer, sachez que c’est possible, que vous allez le droit et que ça peut aussi être une super exploration de connaissance de soi.

Chacune de nous fait avec là où elle en est, dans le respect de ce dont elle a envie.

Et, si après cet épisode, je t’ai donné envie de voir un col de l’utérus, mais de préférence pas le tien ? Comment peux-tu faire ?

Tu peux aller faire un tour sur le site my beautiful cervix (le nom anglais pour col de l’utérus) pour voir à quoi ressemble l’évolution d’un col au cours d’un cycle ou à différentes périodes de la vie.

Le souci de ce site selon moi, c’est que dans la galerie photo, il y a un mélange des cols de l’utérus en bonne santé et en mauvaise santé, et je trouve ça un peu submergeant. Mais si tu te sens plus en confiance que moi, et que tu n’es pas du genre hypocondriaque, go girl. Pour plus de sécurité émotionnelle, dans la description de cet épisode, j’ai mis un lien direct vers une galerie photo d’un col de l’utérus en bonne santé, donc vous pouvez cliquer en toute sécurité.

Ce n’est pas non plus le genre de site à regarder au boulot. Car même si vos collègues ne reconnaîtront pas un col de l’utérus, il vous demanderont probablement : « Euh Natacha, pourquoi tu regardes des photos de glands au boulot ? »

« Ce ne sont pas des glands, Bernard, ce sont des donuts ! »

Allez, je vous embrasse et je vous dis à bientôt ! Et racontez-moi ce que tout ça vous inspire !